• du refuge de conangles au camping aneto

RANDONNEES.

de conangles au camping aneto

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8 août 2014, 30,5kms, 1450m de D+ Il a plu toute la nuit et, d'ailleurs, lorsque je me lève, il pleut encore et quelques nuages accrochent cols et sommets.Je n'irai donc pas au col des mullères, dont je sais l'approche compliquée à partir du refuge du même nom, pour l'avoir fait il y a une bonne dizaine d'années. Je vais donc emprunter la variante plus au sud, balisée gr11.
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Par chance, la pluie s'arrête. Je descends la piste parallèle à la route, que je rejoins non loin du pont de salenques. Un petit bout de route et, enfin, le bon sentier Gr démarre. Après une longue portion pas très montante en forêt, la pente se redresse fortement.
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Longeant le barranco d'anglios, le sentier, plutôt une sente détrempée par la pluie et encombrée de blocs et cailloux, monte raide. On finit par rejoindre une zone plus plate.. Je ne suis plus très loin de l'étang grand d'anglios, que j'atteins enfin. Le refuge en bois, n'a pas changé depuis ma dernière visite en 1997. Le temps, est toujours aussi gris et menaçant. .
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Plus haut, au bord de l'étang du milieu d'anglios, se trouve le refuge du même nom, bien isolé. Après le refuge, une bifurcation indiquée par un panneau. Je domine les étangs grands et du milieu d'anglios. .
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Plus haut, ce sont les estanyets d'anglios, ou le lac de rio bueno sur la carte opencycle.. Encore plus haut, sous le col de vallibierne, l'étang du cap de llauset. Un panneau indique la direction du col. Je domine à présent l'étang du cap de llauset.
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L'étang du cap de llauset??. Après cet étang, le sentier redescend un peu. Non loin, se trouve une cabane de berger, non indiquée sur la carte.
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J'atteins le col de vallibierne, par chance dégagé. Le vent y souffle violemment .. Suit une descente assez pénible, parfois dans les éboulis. Quelques névés, pas trop difficiles, s'évitent facilement. En contrebas les étangs ou ibon de vallibierne. Je rejoins les étangs de vallibierne. D'abord l'étang ou ibon haut.
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Puis l'étang bas. Après avoir longé cet étang ou règnent les éboulis, j'atteins une zone plus paisible avec, enfin, du sentier.
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Suit une longue descente qui m'amène au refuge de conangles, occupé par de nombreux jeunes. scouts??. La, se trouve l'arrêt de la navette amenant à benasque. Il n'est que 14 heures et la navette passe à 16 heures. Je décide de continuer à pied, d'autant qu'il n'est pas certain qu'il y ait de la place pour moi.
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Après une interminable descente par la piste, ponctuée toutefois par la rencontre d'une randonneuse souriante, voire rieuse, rayon de soleil qui me redonne des forces, j'arrive enfin au camping, lessivé. Je plante ma tente, qui ne résistera pas longtemps à l'orage violent qui va se déclencher dans la soirée. Des gouttières se forment. Le moral en prend un coup après cette nuit blanche.